« On a mis des cageots ramassés aux Halles, on a jeté des morceaux de bois, une centaine de petites cages à oiseaux, de vieux livres, des disques invendables, mais aussi des carcasses de langoustes, des trognons de choux-fleurs, des mégots et quelques boites de camembert…
…Quand on a vidé le Plein, j’ai écrit une lettre angoissée à Éliane : Pour moi disais-je, c’est comme la mort d’un éléphant.* »
« …Le plein a existé 10 jours et je le connais bien hier soir j’ai eu un moment de panique lorsque j’ai su que le lendemain il ne serait plus…** »
*ARMAN Mémoires Accumulés. Entretiens avec Otto Hann. Belfond, Paris.